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Serigne Mouhamadou Moustapha Mbacké
08/01/2010 14:25
C'est le fils ainé de serigne touba et c'est son premier qualif aussi qui a occupé son califat de 1927 à1945
Commentaire de ousmane (13/01/2010 14:24) :
ki nak moy l'incarnation du "fit" du "djom" apres la disparition de
serigne touba les colons croyaient que le voie mouride aller
s'estomper mais heureusement "dom ja done na bayam" c'est ŕ dire
c'est le fils de son pčre.merci
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Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké le serviteur du prophete
08/01/2010 14:16
C'EST KHADIMAL MOUSTAPHA l'intendant du prophéte l'abrevoir des assoiffés c'est le fondateur du mouridisme
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SERIGNE MOUHAMADOU LAMINE BARA MBACKÉ:UN DIGNE CONTINUATEUR DE L'OEUVRE DE CHEIKH AHMADOU BAMBA
06/01/2010 09:38
Serigne El Hadj Mouhammadou Lamine Bara MBACKE (actuel Khalife) Extrait du KHADIMU-R-RASUL, le Serviteur Privilégié du prophète http://www.htcom.sn
Serigne El Hadj Mouhammadou Lamine Bara MBACKE (actuel Khalife) SERIGNE MOUHAMADOU LAMINE BARA MBACKE : UN DIGNE CONTINUATEUR DE L'OEUVRE DE CHEIKH AHMADOU BAMBA Appelé affectueusement El Hadji Bara, il est l'homonyme de Serigne Mouhamadou Lamine Bara MBACKE, fils de Cheikh AHMADOU BAMBA car il est venu au monde pendant que ce dernier était en visite chez Mouhammadou Fadilou Mbacké. Son père le confia très tôt à son homonyme qui lui inculqua une excellente éducation. C'est d'ailleurs sous sa férule qu'il mémorisa le Coran qu'il apprit, par la même occasion à calligraphier. A la même source il s'abreuva amplement de solides connaissances en sciences religieuses. Après de longues années passées aux côtés de ce dernier, il retourna auprès de son père pour continuer sa formation spirituelle. Agé de 82 ans Serigne Mouhammadou Lamine Bara est le sixième khalif général des mourides depuis la disparition de Serigne Saliou Mbacké le 28 décembre 2007. Suivant en cela l'exemple de son père à l'égard de Serigne Touba, il avait troqué auprès de Serigne Fallou le lien de sang qui les unissait contre le statut de talibé agréé. Il est aussi son homme de confiance. Il est aussi connu pour son amour et son attachement indescriptibles pour son père et maître spirituel. Très tôt attaché au service de son père il a eu à jouer des rôles divers comme chargé de mission ou homme de confiance dans beaucoup de tâches qui demandent abnégation, engagement et courage. Il a eu à se rendre à plusieurs reprises à La Mecque, en petit pèlerinage. Maniant avec aisance l'arabe comme le français, Serigne Bara est aussi connu pour sa perspicacité et son ouverture d'esprit. Il est doté d'un remarquable sens de l'organisation, plusieurs fois éprouvé dans les travaux qu'il a eus à diriger à la tête de la famille de Serigne Fallou.Très entreprenant il était aussi très proche de Serigne Saliou Mbacké et fut même son chauffeur pendant 7 ans. De la même manière il était très lié à Serigne Abdou Khadre Mbacké et l'accompagnait chaque fois diriger les prières de vendredi à la grande mosquée de Touba. Serigne Mouhammadou Lamine Bara Mbacké s'est aussi illustré par ses interventions remarquables aux travaux dans les champs de Serigne Saliou Mbacké à Khelcom avec ses disciples et toute la famille de Serigne Fallou Mbacké (travaux de défrichage, d'entretien ou de récolte) L'homme, pour ceux qui le connaissent, est réputé pour son assiduité aux prières du Vendredi, depuis l'inauguration, de la Grande Mosquée, le vendredi 7 juin 1963. Sa bonté de coeur, sa générosité et sa franchise sont largement attestées par tous. Serigne Bara Mbacké est très attaché à la famille de Khadimou Rassoul et voue un respect remarquable, une Copyright © DAHIRA MAKARIMAL AQLAKH DIOURBEL
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El Hadji Fallou Mbacké l'homme du siécle
06/01/2010 09:23
La dimension charismatique de Serigne Mouhamadou Fadel Mbacké (1888 - 1968)
Extrait du KHADIMU-R-RASUL, le Serviteur Privilégié du Prophète
http://www.htcom.sn
Tout en cet homme exceptionnel que nous appelons affectueusement et respectueusement Serigne Fallou ou El Hadji Fallou, porte les stigmates d'une sainteté incontestable. D'abord sa naissance qui eut lieu en 1888 à Darou Salam. En effet Serigne Fallou vit le jour exactement la vingt septième nuit du mois lunaire de Rajab. (ndeyi koor dans le calendrier local), Un des signes distinctifs par lesquels on identifie le croyant véritable est la résignation devant les arrêts divins, si cruels puissent-ils paraître. Ainsi, lorsque le 13 juillet 1945, Serigne Mamadou Moustapha fut ravi à l'affection de la Communauté Mouride, ce fut avec une douleur, indicible certes mais avec une totale soumission à la volonté de Dieu que le pays tout entier vécut l'événement. Son frère cadet (de six mois), Serigne Mouhamadou Fadilou fut porté au Khalifat car la flamme allumée par Khadimou Rassoul ne saurait vaciller. Celui là, dont le souvenir reste toujours vivace plus d'un demi siècle après son rappel à DIEU, allait marquer son temps. Tout en cet homme exceptionnel que nous appelons affectueusement et respectueusement Serigne Fallou ou El Hadji Fallou, porte les signes d'une sainteté incontestable. D'abord sa naissance qui eut lieu en 1888 à Darou Salam, exactement la vingt septième nuit du mois lunaire de Rajab. (ndeyi koor dans le calendrier local). C'est la date anniversaire du voyage nocturne du Prophète (en compagnie de l'Ange Gabriel) dont il ramena le rituel des cinq prières, si fondamental en Islam. Le Magal du Kazu Rajab qui marque son anniversaire est un événement très connu, où se pressent des centaines de milliers de talibés fervents. Ensuite il faut noter la réaction du Cheikh quand il fut informé de cette naissance. Il aurait alors vivement exprimé sa gratitude à Dieu en concluant que si ce nouveau né n'était pas apparu dans sa famille, il se serait mis à sa recherche pour aller le retrouver, où qu'il puisse être. Enfin il faut ajouter le pèlerinage qu'il accomplit à la Mecque. Les circonstances de ce séjour en terre arabe furent telles qu'il eut beaucoup de peine à rentrer à TOUBA : les gens de la Mecque ne voulaient plus s'en séparer, ayant découvert en lui une érudition et une sainteté exceptionnelles. Déjà, tout enfant, Serigne Fallou avait commencé à se signaler comme un être d'exception. Copyright © KHADIMU-R-RASUL, le Serviteur Privilégié du Prophète Page 2/5 La dimension charismatique de Serigne Mouhamadou Fadel Mbacké (1888 - 1968) Sa mère Soxna Awa BOUSSO appartient à une famille d'érudits qui a donné plusieurs imams à TOUBA. C'est avec une aisance surprenante que dès l'âge de huit ans, il se mit à l'apprentissage du Coran, sous la férule de Serigne Ndame Abdourahmane LO au daara dénommé 'âlimun Xabîr, à environ cinq kilomètres de Touba. Son oncle paternel Serigne Mame Mor Diarra lui servit de professeur dans l'étude de la Théologie. Sa formation dans les Sciences Religieuses fut complétée par le Cheikh lui-même, à son retour d'exil. Précisons qu'une bonne partie de cette formation eut lieu en Mauritanie, à Saout El Maa (Khomack), où le Cheikh avait été déporté et où le rejoignit Serigne Fallou en compagnie de Serigne Mamadou Moustapha et de Serigne Mor Rokhaya BOUSSO. Aujourd'hui encore la vaste érudition de Serigne Fallou en arabe est évoquée avec admiration, de même que ses talents de poète et de calligraphe hors pair. Il est crédité d'une quarantaine de copies du texte sacré, dont vingt huit ont été directement offertes au Cheikh sous forme de don pieux (adiya). D'ailleurs c'est avec la même émotion qu'on évoque encore sa grande maîtrise de ce texte à la lecture duquel il consacrait le plus clair de son temps. Cela n'est pas surprenant quand on sait qu'il a appris à maîtriser l'art du Tajwid auprès de Serigne Mame Mor Diarra, d'abord et de Serigne Mame Thierno Birahim MBACKE un autre frère de son père. Un autre fait marquant de sa personnalité est son incommensurable dévotion, sa soumission inconditionnelle au Cheikh qu'il était loin de considérer comme un père mais plutôt comme son guide spirituel, son Maître. Pour comprendre cet attachement, cette soumission quasi indescriptible, rappelons un événement qui eut lieu à Khomack. Un matin, le Cheikh tint à son auditoire un discours qui peut se résumer ainsi : " Je ne suis ni le père, ni le frère, ni l'oncle d'aucun d'entre vous. Je suis une créature vouée au service exclusif de Dieu. Ceux d'entre vous qui auront choisi de m'accompagner sur ce chemin que j'ai réhabilité, ceux-là sont mes fils, neveux, frères et talibés . " Serigne Fallou et ses frères firent aussitôt acte d'allégeance et, les quatre ans que dura le séjour mauritanien, ils redoublèrent d'ardeur dans leur apprentissage religieux, selon les règles établies par le Cheikh. Cet événement fut la source d'un poème que Serigne Fallou dédia à son Maître et dans lequel on peut notamment lire :" Notre espoir est en Toi, Toi qui nous as ouvert les portes de la félicité. Je Te vends mon rang de fils pour acquérir la gloire d'être Ton talibé. Et quand Tu m'auras donné cette gloire, je Te demanderais de bien vouloir l'accepter comme don pieux . " Lorsque le Cheikh exprima sa volonté d'ériger la Grande Mosquée, Serigne Fallou s'engagea corps et âme dans Copyright © KHADIMU-R-RASUL, le Serviteur Privilégié du Prophète Page 3/5 La dimension charismatique de Serigne Mouhamadou Fadel Mbacké (1888 - 1968) l'entreprise : les voeux, même les plus anodins du Cheikh, sont pour lui des ordres péremptoires. Ainsi, en 1926, alors que le Cheikh mobilisait les forces de sa communauté pour la réalisation de son projet, Serigne Fallou eut le bonheur, après de longues recherches, de découvrir la carrière de NDOCK, susceptible de fournir les matériaux pour la construction de l'édifice. Les échantillons qu'il envoya à TOUBA rencontrèrent l'agrément du Maître qui, à cette occasion l'exhorta à considérer, au même titre que son frère aîné Serigne Mamadou Moustapha, la construction de la Mosquée comme une mission incompressible. Lorsqu'en 1927 le Cheikh disparut, Serigne Fallou, en bon talibé reporta sur son frère aîné devenu premier khalife, toute sa dévotion et son affection. Autant il était attentif au moindre désir du Maître, autant il se mit au Service de Serigne Mamadou Moustapha, dans lequel il retrouvait leur père, au demeurant. C'est d'ailleurs sur le " ndigël " (recommandation) de Serigne Mamadou Moustapha, qu'il accomplit son fameux pèlerinage à la Mecque. C'était pour concrétiser un projet de Cheikh Ahmadou Bamba. En effet, le Cheikh avait un jour exprimé sa volonté de se rendre aux lieux Saints de l'Islam. Il avait même désigné les compagnons avec lesquels il souhaitait faire ce pèlerinage. Ces bienheureux étaient Mame Cheikh Anta, Serigne Mbacké Bousso, El Hadji Mayoro Fall et Serigne Moulaye Bou (un maure). Dieu en décida autrement et le Cheikh rejoignit le Paradis avant d'avoir eu le temps de mettre son projet à exécution. Alors, en 1928, Serigne Mamadou Moustapha chargea Serigne Fallou de concrétiser le voeu de leur père, et avec les mêmes compagnons qu'il avait prévus. Les péripéties de ce voyage furent tellement riches en événements, quasi miraculeux, que la communauté mouride n'est pas loin de croire que Serigne Fallou est en réalité une réincarnation de Serigne Touba. En 1945, Serigne Fallou, devenu second khalife, se plongea corps et âme dans la poursuite des travaux de la Grande Mosquée. Il eut l'insigne bonheur, le 7 Juin 1963, d'en procéder à l'inauguration et d'y diriger la première prière. Son khalifat est encore évoqué de nos jours comme une période particulièrement faste pour le pays. Tous les Sénégalais, toutes confessions et toutes ethnies confondues, le considèrent comme un vrai thaumaturge, un homme qui a reçu du Créateur des dons immenses. Les anciens se rappellent que son avènement a coïncidé avec l'éradication de l'épidémie de peste qui a décimé le pays vers la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Ce guide charismatique a laissé le souvenir d'un homme convivial, doté d'un très grand sens de l'humain et particulièrement doué pour trouver le bon mot destiné à détendre l'atmosphère et à mettre à l'aise ses interlocuteurs. Sous son magistère, la ville de TOUBA a connu un développement très important. En effet il a fait procéder au lotissement et à l'électrification de la cité tout en améliorant les infrastructures existantes. Il a fait bitumer les routes et a installé un premier forage à Darou Manan pour l'approvisionnement en eau. La Grande Mosquée porte sa marque indélébile : elle lui doit les cinq majestueux minarets qui la signalent à des kilomètres à la ronde et dont la plus grande est dénommée Lamp Fall, en hommage à Cheikh Ibra FALL. A l'exemple de son Maître et de Serigne Mamadou Moustapha, le premier khalife, il a eu lui aussi, à créer des Copyright © KHADIMU-R-RASUL, le Serviteur Privilégié du Prophète Page 4/5 La dimension charismatique de Serigne Mouhamadou Fadel Mbacké (1888 - 1968) villages - Daara très prospères dont nous retiendrons : Ndindy, Madinatou Salam, Alieu Mbepp, Touba Bogo. Ces daara étaient le plus souvent supervisés par des anciens talibés de Serigne Touba. Il est à noter que les revenus générés par ces exploitations ont été servis à financer la construction de la Mosquée ou à soulager les talibés (disciples) en difficulté ou encore à entretenir les nombreux Maures que le Cheikh a ramenés de son séjour à Khomack. Cet être exceptionnel nous a quittés en 1968 pour rejoindre son Seigneur. La rédaction de HTCOM Copyright © dahira makarimal aqlakh diourbel
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quelques citations de serigne touba
05/01/2010 11:26
"La grace de notre Prophéte Moustapha est mon objectif dans toutes chose et tout ce qu'il honnit je lui conspire ." "l'amour du seigneur des mondes m'a valu le bénéfice de l'ordre créateur (kun) ,c'est une certitude et point je ne m'abuse." "je suis auréole de la splendeur du savoir et du mérite des oeuvres pies,assurément ma pérfection est courounnée."
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